Nous sommes rentrés samedi soir de Savoie. J’avais programmé le post de dimanche, avec les mendiants et des liens vers mes recettes de galette.
Dimanche, quand j’ai cliqué sur le premier lien, la galette des rois aux pommes et à la frangipane, j’ai redécouvert avec horreur la photo que j’avais faite en 2006…
Alors, comme c’était l’Epiphanie et que j’avais deux pâtes feuilletées dans le frigo, je me suis dit : allez, on se fait une tite galette, on invite les voisins et on essaie de faire une jolie photo !
- 3 pommes moyennes
- 2 oeufs
- 30g de sucre vanillé
- 100g de sucre
- 1 cas rase de maïzéna
- 10cl de lait froid
- 125g d’amandes en poudre
- 30g + 50g de beurre
- 2 disques de pâte feuilletée
- 1 oeuf pour dorer
Eplucher les pommes, les couper en grosses lamelles et les faire caraméliser dans une poêle avec 30g de beurre et 30g de sucre vanillé.
Elles doivent être confites (cuites) donc il faut compter un bon quart d’heure à feu moyen. Laisser refroidir.
Dans une casserole, verser les oeufs battus, le sucre et la maïzéna délayée dans le lait. Faire cuire à feu doux, en remuant sans cesse, jusqu’à épaississement.
Retirer du feu et ajouter les amandes et les 50g de beurre coupé en petits dés. Remuer et laisser refroidir.
Piquer avec une fourchette le premier disque de pâte feuilleté. Y étaler la frangipane refroidie puis les lamelles de pommes en laissant un bord d’environ 3 cm.
Placer la ou les fèves (j’en mets deux).
Avec un pinceau trempé dans un verre d’eau, humidifier les bords de la pâte.
Faire un petit trou au milieu du deuxième disque de pâte feuilleté (cheminée pour évacuer la vapeur rendue par les pommes) et le placer sur le premier, en appuyant bien au niveau des bords afin de
les souder.
Dorer à l’oeuf battu mais pas les bords, cela empêcherait la pâte de monter.
Enfin, découper une bande de 1 cm tout autour pour libérer le feuilletage.
Placer minimum une heure au frais.
Dorer de nouveau à l’oeuf le centre de la galette puis enfourner à 200°, en bas du four, pour environ 35 minutes (surveiller la cuisson).
Qui aura la fève ?