Je vous ai déjà donné une recette similaire, un flan coco au caramel, qui utilise du lait concentré sucré mais la recette utilisait, en
complément, du lait et non de l’eau. De plus, je ne montais pas les blancs en neige.
Cette différence se retrouve dans la texture : dans la recette précédente, la couche flan/noix de coco se sépare bien de la couche flan alors qu’ici on a une texture moins lisse pour le flan car la
noix de coco (grâce à la texture plus mousseuse de la préparation) ne remonte pas autant à la surface.
C’est vraiment une question de goût ; pour ma part, j’ai tendance à préférer le premier mode de préparation qui est plus rapide et qui permet d’avoir une séparation franche coco/flan.
Par contre, troquer le caramel contre une couche de chocolat au lait, ça donne un petit goût de Bounty qui me fait craquer !
Maintenant que vous avez toutes les cartes en main pour choisir l’une ou l’autre des deux recettes ou mixer joyeusement les deux (en évitant le caramel sous le chocolat !), voici comment préparer
le flan façon Bounty :
- 4 oeufs
- 1 boite de 397g de lait concentré sucré
- 1 boite d’eau (397g donc)
- 100g de noix de coco râpé
- 1 tablette de chocolat au lait pâtissier (180g)
- 3 cas de crème liquide
Verser le lait concentré sucré dans un saladier et ajouter le même volume d’eau.
Remuer puis ajouter les 4 jaunes d’oeuf puis la noix de coco.
Monter les 4 blancs en neige très ferme et les incorporer à la préparation précédente.
Verser le tout dans un moule à manqué beurré.
Enfourner à 180° – 200° pendant une trentaine de minutes.
Le dessus du flan doit être bien doré.
Attendre le refroidissement avant de démouler en deux fois :
– poser un plat sur le moule et retourner pour avoir la croûte dorée en-dessous
– sans attendre, prendre le plat de service et retourner de nouveau : la croûte dorée est sur le dessus, c’est elle que nous allons recouvrir de chocolat.
Faire fondre le chocolat et la crème au bain-marie et en napper le dessus du flan.
Attendre un peu avant de déguster que la couche de chocolat ait durci et refroidit (mais c’est pas facile…)
Source : une recette de ma copine Isabelle, que nous avons réalisée ensemble, lors d’un week-end à Souesmes