Ma cuisine, je la trouvais toujours jolie. Par contre, je n’en pouvais plus d’avoir en tout et pour tout 60 cm de plan de travail disponible pour travailler.
Je travaillais essentiellement sur la table de cuisine, en me cassant un peu le dos…
Mais ce n’est pas toujours possible, quand, par exemple, on reçoit et qu’on décide de faire manger les enfants dans la cuisine…
Pour avoir davantage de plan de travail, il y avait deux solutions :
– décider de ne plus manger dans la cuisine, et donc sacrifier la table pour mettre du meuble bas avec plan au-dessus.
– agrandir la cuisine
Nous avons choisi la solution numéro 2.
Pour agrandir la cuisine, il y avait deux solutions :
– faire un agrandissement en dur
– faire une véranda
Nous avons choisi la solution numéro 2.
C’était il y a plus d’un an.
Je vous passe les détails, mais le voisin étant contre ce projet, qui transformait, il est vrai, un mur de verdure en mur tout court, a
fait tous les recours possibles pour nous empêcher d’avancer.
Finalement, tous ces recours étant épuisés, et ayant obtenu toutes les autorisations nécessaires, nous avons enfin décidé de commencer
les travaux.
Pour la construction, nous n’avions pas le choix : soit on se placait en limite de propriété soit on se plaçait à 3m de cette limite.
Donc nous nous sommes mis en limite, ce qui nous obligeait à sacrifier 7 cyprès (d’où le mécontentement du voisin).
Nous avions déjà une terrasse. Sauf que cette dernière, bien que super épaisse, super costaud, n’était pas isolée.
Alors, il a fallu tout casser…
Tant qu’à faire, on en a profité pour modifier le dessin de la terrasse : fini l’arrondi, on repart sur du rectangle, plus en harmonie
avec l’implémentation de la future véranda.
Et pour faire comme si cela avait toujours existé, nous retirons le carrelage de l’ancienne terrasse pour nous laisser la possibilité
de tout refaire de façon homogène.
La nouvelle chappe est isolée.
Le mur et le sol étant prêt, le vérandaliste a pu venir poser la véranda.
Nous avons choisi un toit de type victorienne : deux pans opposés à la pente du toit, et une pate d’oie.
Et une couleur moderne : du gris anthique.
En 4 jours, la véranda était posée.
Après tout ça, ai-je vraiment agrandi ma cuisine avec cette véranda ?
Que nenni, ce qu’il faut maintenant c’est casser le mur de la maison pour créer une seule et même pièce !
Suite au prochain épisode (ça, c’est du teasing !)
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